Œuvre Officielle de la 29e Édition

Oeuvre selectionnée pour la 29ème édition, «Métroposthésie #343: Perception» par SOLAV.
Découvrez l’Œuvre Officielle de la 29e Édition du Festival Vue sur la Relève

C’est avec une immense joie que nous dévoilons l’œuvre visuelle officielle qui accompagnera la 29e édition du festival Vue sur la Relève. Cette année, le choix s’est porté sur une création qui incarne parfaitement l’esprit de créativité et d’audace qui anime notre festival depuis près de 30 ans.

 

«Métroposthésie #343: Perception»

L’œuvre intitulée «Métroposthésie #343: Perception» est une photographie digitale à triple exposition, signée par l’artiste talentueux SOLAV. 

 

Qui est SOLAV ?

Artiste multidisciplinaire originaire des Laurentides, actif dans les domaines de la photographie, des arts visuels et de la poésie. Sa carrière artistique prend son envol lors d’un séjour de plus de six ans à Hangzhou, en Chine. Pendant cette période, il organise et participe à de nombreuses expositions à travers l’Asie, tout en composant son premier livre de photopoésie.

Après son retour au Québec, SOLAV diversifie son art en lançant ses premières collections de peintures abstraites à l’acrylique. De retour à Montréal, il fonde un magazine consacré à la photographie abstraite, mettant en avant des entrevues et des projets de commissariat.

Le projet «Métroposthésie #343: Perception» réinvente le panorama urbain en explorant la perception citadine à travers l’art de rue, les édifices modernes et historiques, et les détails du quotidien. L’artiste crée des liens entre ces éléments pour offrir un portrait vibrant et dynamique de Montréal, capturant l’essence unique de la métropole.

Grâce à une technique de photographie multiexpositionnelle basée sur la règle de trois (trois clichés en trois minutes et trois perspectives distinctes), l’œuvre met en lumière la dualité entre intimité et rigidité, entre accessible et inaccessible, dans une composition à la fois texturée et harmonieuse.

Cette série révèle les textures urbaines souvent oubliées et met en lumière la lutte des identités et des artistes pour occuper un espace visuel, tout en célébrant la complexité et l’équilibre de la vie citadine.