La danse et moi


Avant d’être blogueuse pour le Festival, j’avais déjà une vie (t’es étonné avoue.).  J’ai étudié en théâtre musical, et mes notes ressemblaient à :

90% en théâtre

95% en chant

45% en danse.

J’exagère un peu. Ceci étant dit, je vous raconte ma vie pour vous expliquer que, de ces trois arts, la danse est comme… MON MAILLON FAIBLE. Je vais donc, à la vue de mon savoir limité en la matière, vous faire la critique la plus complète possible (sans être scientifique) de ce que j’ai pu voir hier soir.

 [ID] Double de Louis-Elyan Martin se voulait une démonstration de la double réalité de tout artiste : la vie personnelle versus la vie publicisée. La danseuse était infinie (en taille), ce qui créait une impression d’extrême amplitude dans ses mouvements. La chorégraphie était bien ficelée et intelligente, mais j’ai trouvé que l’interprète ne communiquait pas beaucoup ses émotions au public. Elle dansait. POINT. (Mais elle le faisait VRAIMENT bien.)

For this part, I’m gonna write in English, so Andrea Peña will be able to understand it. 😉 This number was very STRONG. The fire crackling sound in the beginning brought me directly in the jungle. The dancers were very impressive by their movements, which were very agressive. They almost appeared as… ANIMALS. I really liked this number, this beautiful mixture of different types of dance. Good job Andrea!

Je trippe sur le popping. Je trouve ça tellement impressionnant. Et du popping qui raconte une histoire en plus, je tombe de ma chaise full confortable de la Maison de la culture Mercier. Les danseurs de Prium étaient préparés et puissants. Je ne sais pas trop comment ils font pour faire de tels mouvements avec leur corps : je n’y arriverais pas même avec des années de pratique.

Une autre belle soirée. Merci ben mes copains!

En photo: Kairos par Andrea Peña
Crédit photo: Romain Lorraine
Texte: Aurélie Leclerc

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